Déjà le 20 pluviôse XI (1802-1803),
Le conseil constate qu’il n’y a qu’une seule fontaine publique et qu’il faut donc lui apporter les meilleurs soins.
Le 15 avril 1821,
Le conseil relève que l’entrée de l’abreuvoir est impraticable et même dangereuse, des chevaux y sont tombés et ont manqué de périr.
Le pavé doit être refait, avec transport des matériaux par les laboureurs.
En 1836,
La commune demande à pouvoir exploiter des arbres de sa forêt pour réparer la fontaine et le chemin qui y conduit.
En 1841,
Les grandes eaux de l’hiver ont enlevé le pavé, mais le meunier NICOLAS prétend s’opposer aux travaux sous prétexte qu’il est propriétaire de ce lieu. Le maire décide de passer outre à cette opposition.
En 1852,
Le lavoir est en très mauvais état, notamment en ce qui concerne les murs d’enceinte du bassin et du réservoir ; une partie des eaux de la source se perd dans la nature, diminuant de la sorte le débit d’eau disponible. L’architecte Cordier présente un devis de 2 058 francs, prévoyant la démolition complète de l’ancien lavoir, un bassin de 7,5 m. sur 4,5 m. et quatre baies circulaires. L’eau doit être amenée par des tuyaux en fonte.
En 1854, Volmerange n’a qu’un seul point public d’eau qui sert pour l’usage domestique et pour l’abreuvement des animaux.
Sans cette fontaine, les habitants doivent recourir à l’eau boueuse de la Nied.
En 1854,
La commune fait l’adjudication des travaux de reconstruction d’une fontaine et d’un lavoir. Les travaux doivent être terminés en septembre 1854 et les pierres sont fournies par la commune, sauf les pierres de taille, qui viennent de Brouck. La mise à prix est de 1 482 francs pour un devis de 1 600 francs et Joseph HACKSPIEL, de Boulay, emporte le marché pour 1 462 francs.
En 2022, ce lieu existe toujours